Le Coin de l’Epargnant du 27 mai 2017
Le tableau économique et financier
Résultats
26 mai 2017 |
Évolution
sur 5 jours |
Résultats
31 décembre 2016 |
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CAC 40 | 5 336,64 | +0,23 % | 4 862,31 |
Dow Jones | 21 080,28 | +1,32 % | 19 762,60 |
Nasdaq | 6 210,19 | -+2,08 % | 5 383,12 |
Dax Allemand | 12 602,18 | -0,29 % | 11 481,06 |
Footsie | 7 547,63 | +1,03 % | 7 142,83 |
Euro Stoxx 50 | 3 579,02 | -0,22 % | 3 290,52 |
Nikkei 225 | 19 686,84 | +0,49 % | 19 114,37 |
Taux de l’OAT France à 10 ans (18 heures) | 0,761 % | -0,047 pt | 0,687 % |
Taux du Bund allemand à 10 ans (18 heures) | 0,332 % | -0,041 pt | 0,208 % |
Taux du Trésor US à 10 ans (18 heures) | 2,248 % | +0,001 pt | 2,454 % |
Cours de l’euro / dollars
(18 heures) |
1,1170 | -0,33 % | 1,0540 |
Cours de l’once d’or en dollars (20 heures) | 1 265,500 | +0,80 % | 1 154,570 |
Cours du baril de pétrole Brent en dollars (18 heures) | 51,910 | -3,44 % | 56,620 |
États-Unis, mieux que prévu
Les résultats économiques des États-Unis sont toujours en dent de scie. Ainsi un recul de plus de 11 % au mois d’avril des ventes de maisons neuves a été enregistré (569 000 contre 642 000 en mars). Les experts escomptaient 621 000 ventes. Les ventes de maisons existantes ont également connu une contraction, -2,3 % en avril. En revanche, la statistique révisée de la croissance américaine du premier trimestre a pesé, vendredi 26 mai, positivement sur les cours de bourse. La croissance annualisée du PIB, au premier trimestre, a été portée de 0,7 % à 1,2 %, un chiffre supérieur aux anticipations des économistes (+ 0,9 %). L’activité a profité de dépenses de consommation et des investissements plus élevés qu’initialement annoncé.
Pétrole, une reconduction attendue
La reconduction pour 9 mois de l’accord de la régulation de l’offre de pétrole, signé par l’OPEP et par plusieurs autres pays producteurs dont la Russie à la fin de l’année dernière, n’a pas entraîné une remontée des cours. Cette prolongation avait été anticipée. Les investisseurs ont été déçus par le manque d’éléments nouveaux permettant une véritable maîtrise du marché au moment où la production américaine de pétrole de schiste remonte (voir infra). Dans ces conditions, le prix du baril a réussi tout juste à se maintenir au-dessus de la barre des 50 dollars.