24 septembre 2016

Le Coin des Epargnants du 24 septembre 2016

Le tableau financier de la semaine

 

 

  Résultats

23 septembre 2016

Évolution

sur 5 jours

Résultats

31 décembre 2015

CAC 40 4 488,69 +3,61% 4 637
Dow Jones 18 261,45  +0,76% 17 423
Nasdaq 5 305,75 +1,17% 5107
Daxx Allemand 10 629,97 +3,41 % 10 743
Footsie 6 909,43 +2,97 % 6 242
Euro Stoxx 50 3 032,31 +3,31 % 3 100
Nikkei 16 754,02 +1,42 % 19 033
Taux de l’OAT France à 10 ans (18 heures) 0,145 % -0,096 pt 0,993 %
Taux du Bund allemand à 10 ans (18 heures) -0,088 % -0,080 pt 0,634 %
Taux du Trésor US à 10 ans (18 heures) 1,612 % -0,089 pt 2,269 %
Cours de l’euro / dollars

(18 heures)

1,1292 +0,66 % 1,0854
Cours de l’once d’or en dollars (18 heures) 1 338,600 +2,21 % 1061
Cours du baril de pétrole Brent en dollars (18 heures) 46,210 +0,54 % 37,570

 

 

Les bourses ont essayé de voir la vie en rose mais ce n’est pas facile

Les indices actions ont connu cette semaine une forte progression. La décision de la FED de ne pas relever les taux a contribué à ce mouvement haussier. Néanmoins, la tendance reste incertaine du fait que le front des mauvaises nouvelles ne recule guère. L’OCDE a révisé ses prévisions de croissance pour les pays avancés. Par ailleurs, les indices PMI Markit Composite publiés vendredi sont au plus bas depuis 20 mois pour la zone euro. Il faut souligner que pour la première fois depuis 4 ans, l’indice français dépasse celui de l’Allemagne. Nul ne s’attend à un bon troisième trimestre pour la zone euro. Le taux de croissance devrait se situer autour de 0,3 %. Pour la France, ce taux devrait être de 0,2 % faisant suite à un recul de 0,1 % du PIB au deuxième trimestre. Aux Etats-Unis, le secteur industriel est toujours en décélération. Cette évolution semble donner raison à la FED de ne pas augmenter ses taux directeurs.

La semaine prochaine sera marquée par la réunion des pays producteurs de pétrole OPEP et non OPEP. Un accord de régulation de la production demeure incertain. L’Arabie saoudite serait prête à réduire la sienne si l’Iran ne l’augmente pas. Or, ce pays qui vient de revenir sur le marché des exportations pétrolières n’a guère envie de faire les frais de la surproduction actuelle.